— Paul Otchakovsky-Laurens

L’ Année du serpent

Jean-Jacques Viton

L’ Année du serpent – cette année 1989 – se déploie dans des vagues différentes, mais en échos constants, en résonances analogiques, dans ce livre où le poème (le « faire ») articule ses anneaux en relation avec les « comptes » d’un agenda.

Le serpent se mord la queue. Il se love. Il se répercute dans ses intimes aller retour. Sa peau est renforcée par des plaques dermiques parfois très résistantes, « imbriquées » ou « juxtaposées ».

Le ressac désigne le retour des vagues sur elles-mêmes lorsqu’elles se brisent contre un...

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La presse

L’Année du serpent ressemble à un jardin botanique. Non seulement on peut s’y promener ou s’y arrêter à son gré pour méditer sur telle beauté plus ou moins naturelle, mais on y trouve, rassemblées, une remarquable diversité d’essences : celles de la rue, des dictionnaires, des journaux, des conversations semi-somnolentes balbutiées dans le farniente, des rengaines […] mais aussi bien la métrique la plus rigoureuse.


L’Ane, octobre 1992

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