— Paul Otchakovsky-Laurens

Ville de la peur

René Belletto

Donato, pressé par le danger, ne voit pas d’autre issue que de remettre la cassette à Marie en lui mentant. (« Un cadeau pour ton fils, un film policier. ») Marie donne la cassette à David, six ans. Quand le danger la presse à son tour, elle comprend, et, avant d’être torturée et assassinée, elle a le temps de téléphoner à son fils. (« Va à la police avec la cassette. »)
David et Michel Rey se rencontrent devant le commissariat de la rue Sully.
Tel est pour Michel le début d’une enquête extraordinaire qui l’amène à rencontrer sa future compagne, à élucider (ou à obscurcir) ses rapports avec...

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La presse

« Nous sommes loin du polar classique, avec ses règles et ses normes. Loin de l’enquête sur une société qui pourrit l"homme et le mène à tuer. La dimension littéraire de Belletto est celle de la tragédie antique, de l’éternel affrontement du bien et du mal. »


Télérama, 13 décembre 1997



« S’il est question de cassette porno, de chantage, de meurtrier partouzard et masqué, le mystère central ne réside point dans ces péripéties mais dans cette ville de la peur, ce Lyon qui offre ses quais, ses parcs, ses impasses et ses passages couverts aux scènes d’épouvante et aux moments fleur bleue de ce deuxième volet, très réussi, d’une trilogie. »


Lire, décembre-janvier 1998



« Belletto, cette fois se laisse moins envoûter par les abîmes qu’il ne cisèle son scénario, sa dynamique, une géométrie souple et vive, avec des décrochements sur les petits faits, le quotidien, l’intimité. Sans oublier Lyon toujours au rendez-vous, la Croix-Rousse, le parc de la Tête d’Or, le pont de la Feuillée... Paradis et purgatoire de l’auteur, sa cité d’épiphanie et de damnation. La Saône, le Rhône, les tuiles romaines, les échappées... »


Le Figaro