Le Voyage d’été
Aventures
Jean-Jacques Viton
Chine, Inde, La Havane, Saint-Petersbourg, Londres, Alexandrie et Le Caire, Madrid et Barcelone. Les sept grands poèmes qui composent ce recueil jouent des couleurs et des sons, des voix et des mots de ces destinations et de ces séjours d’été. Ce sont aussi des récits intimistes, des récits de solitude, car le narrateur, lui, est resté, et il est contraint d’imaginer, à partir de lettres et de cartes postales, ou de ses propres souvenir de voyages, de lectures et tout simplement de noms de pays à partir desquels toutes digressions et toutes divagations sont permises.
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Traductions
Natsu no Tabi, traduit par Nichifutsu Gendaishi Kyôdô, Hon-yaku Seminâ (Séminaire de traduction collective de la poésie contemporaine japonaise et française), Tokyo, Shichôsha, 2000.
La presse
Le Voyage d’été est le contraire de celui d’hiver (signé Schubert), léger, joyeux, ironique mais pareillement musical. (…) En Chine, il y a des scènes cruelles, en Inde, un éléphant énorme et le "Sage Sanglier Sauvage", à Cuba, les ossements du Che, sur la Manche des infos météo. Et énormément de considérations aussi sur ce qui circule dans la langue et entre les mots.
Libération, 17 juin 1999