— Paul Otchakovsky-Laurens

Pas aimée

Frédéric Boyer

Un salaud parle d’amour au cœur de la catastrophe.
Je vous demande de l’écouter.
D’accepter la nuit de tout homme qui aime et trahit.
Une nuit sociale et personnelle.
Une nuit poème qui fait de la négation l’ultime signe d’être homme.

 

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La presse

Pas aimée est un livre cru, nu, rude. Un cri de révolte poussé trop tard. Dès les premières lignes, on pressent le drame. Car « personne ne vous suit jamais jusqu’au bout ». Frédéric Boyer dit l’un pour dire tous. Dans une société, une classe sociale. Dans une classe sociale, un homme. Dans un homme, une femme. Dans une femme, un être. A travers l’image de la femme délaissée, le narrateur découvre la fragilité inhérente à chaque être humain.


Le Journal du dimanche, 28 novembre 1999


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