— Paul Otchakovsky-Laurens

L’ Autoportrait aux dormeuses

Jean Daive

Dans une maison ronde à l’architecture tragique, comme un crâne, le narrateur, cet homme qui a renoncé, laisse venir à lui Ada, Ira, Alwa. Ada est sans cohésion, elle gesticule, elle crie. Ira vit toutes les audaces de la chair, toutes les curiosités. Alwa n’attend plus rien du mystère de la vie. Peut-être ces trois femmes n’en sont-elles qu’une : « Ada, Ira, Alwa. Tu pénètres comme un éclair dans mon secret ou mon dérèglement. Je veux. »

Jeux sexuels, recherche sans repos d’une raison, questionnement des sens et des mots, mise en chaîne des fantasmes : jamais Jean Daive n’est allé si loin et de manière...

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