— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 85

Jean-Claude Biette, l’évidence et le secret

Collectif

  • Première préface à Poétique des auteurs par Jean-Claude Biette
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  • Portrait du cinéaste en trappeur par Patrice Rollet
  • Jean-Claude Biette me manque par Serge Toubiana
  • Biette souvent par Benoit Jacquot
  • « Aujourd’hui… » par Jean-Claude Guiguet
  • Le voyageur des parallèles par Noël Simsolo
  • Comment Biette digérait-il Bouvet ? par Jean-Christophe Bouvet
  • Biette par Luis Miguel Cintra
  • Cours de cinéma avec Jean-Claude Biette par Noëlle Pujol
  • Polyphonie par Jean Louis Schefer

 

  • Biette dans le labyrinthe par Jacques Bontemps
  • Comme on marche à pied par Marc Chevrie
  • Théâtre sans lumière par Marie Anne Guerin
  • La langue au chat par Benjamin Esdraffo
  • Bouche grande ou verte par Marcos Uzal
  • Regarde, de tous tes yeux, regarde par Pierre Eugène
  • Le château des morts-vivants par Mathieu Macheret

 

 

  • Le songe de Dorothée. Du Théâtre des Matières à Saltimbank par Boris Nelepo
  • Jean-Claude en Amérique. Loin de Manhattan par Sylvie Pierre Ulmann
  • Une étoile cadette. Autour de Loin de Manhattan par Philippe Fauvel
  • Le Champignon des Carpathes par João Bénard da Costa
  • Le Champignon des Carpathes, un grand film politique par Raymond Bellour
  • Mauvaises grâces. À propos de Chasse gardée par Jean Narboni
  • Allons voir ailleurs si nous y sommes. Le Complexe de Toulon, histoire d’un film par Ysé Tran
  • Ailleurs. Trois ponts sur la rivière par Fernando Ganzo
  • Des gens passent, et des meilleurs. À propos de Saltimbank par Pierre Léon

 

 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.