— Paul Otchakovsky-Laurens

Mes derniers mots

Santiago H. Amigorena

Nous sommes en juin 2086. La fin du monde a bien eu lieu. Il ne reste plus que deux êtres humains sur toute la surface du globe : un vieil homme qui va mourir le lendemain et un jeune homme pour raconter la fin de l’histoire. Ces derniers survivants contemplent les ruines de l’humanité. Les guerres ont cessé. La soif et la faim ont disparu. Les monstres que l’homme avait créés ont peu à peu déserté le monde. Fallait-il une si grande destruction pour que l’on puisse de nouveau s’émouvoir devant la simple beauté d’une rose ? Faudra-t-il que l’homme meure pour qu’il mesure la grandeur de ce qu’il a été ?


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Traductions

Espagne (Castillan) : Literatura Random House | Espagnol (catalan) : Edicions 62

La presse

Repartir de zéro



Nous sommes en juin 2086. La fin du monde a bien eu lieu. Deux personnes ont survécu. William Shakespeare, vieil homme de 124 ans qui, bientôt, s’éteint en silence, et le narrateur, parcourant, depuis Athènes, les ruines de l’humanité pour témoigner de ce qu’il voit. La soif et la faim ont disparu. Les monstres que I’homme avait lui-même engendrés ont déserté la planète. Fallait-il une si grande destruction pour de nouveau s’émouvoir devant la simple beauté d’une rose ? Faudra-t-il que I’homme meure pour qu’ il mesure la grandeur de ce qu’ il a été ? Ce sont tous ces questionnements qui traversent le récit de Santiago Amigorena, oscillant entre fatalité et consternation. Soixante-dix ans avant leur extinction, les hommes auront-ils le courage de I’optimisme ou resteront-ils des prophètes de I’apocalypse ?



Paul-Henry Bizon, The Good Life, avril/juin 2015

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Santiago H. Amigorena, Mes derniers mots, Mes derniers mots mars 2015