— Paul Otchakovsky-Laurens

Les vivres

Marie de Quatrebarbes

« Au bord parfois très pentu où je me penche, je m’en vais m’aligner sur un espoir plus grand. »

Les vivres est le journal recomposé (de septembre à février) d’une disparition espérant, dans l’intervalle ouvert par la disparition, appeler une autre mesure du temps que celle du deuil. Élégiaque ou projectif, le vers passe en contrebande dans la prose, la contamine comme le souvenir d’une langue maternelle résiste à l’effacement. Images d’enfance. Mots perdus et retrouvés. Souvenirs redistribués dans le langage. Peut-être s’agit-il d’inscrire la survivance d’un lien au revers du présent...

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Traductions

USA : World Poetry Books

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Marie de Quatrebarbes, Les vivres, Les vivres juin 2021