— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 61

Collectif


  • La lettre de Ventura par Jacques Rancière

  • La lettre de Ventura par Marcos Uzal

  • Ce que peut une installation par Raymond Bellour

  • L’a-rythmétique de Norman McLaren par Hervé Joubert-Laurencin

  • « Aucun homme n’est une île » par Suzanne Liandrat-Guigues et Jean-Louis Leutrat

  • L’ordre du jour par Pierre Léon

  • Lettre de l’Internet par Christophe Atabekian

  • Romuald Karmakar – possédés et maîtres fous par Pierre Gras

  • Duisburg, trente ans après par Harun Farocki

  • Passion calme par Hervé Gauville

  • Douglas Sirk raconte par Helmut Färber

  • L’horreur selon Sirk par Patrice Blouin

  • Miroirs noirs, sombres reflets par Fabrice Revault

  • Sirk et l’étude des classiques : tolle et lege par Jean-Loup Bourget

  • Hitler’s Madman today par Leslie Kaplan

  • La fable tordue par Jacques Bontemps

  • Autour d’un chef-d’œuvre de Douglas Sirk par Jacques Lourcelles

  • Écrit sur du vent par Wim Wenders

  • Ça aura eu lieu par Marie Anne Guerin

  • Danièle, ma sœur par Sylvie Pierre

 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.