— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 37

Collectif


  • Le monde vu d’en haut par Serge Daney

  • L’ajustement au réel par Jean Louis Schefer

  • Rio Daney Bravo par Sylvie Pierre

  • L’expérience Daney. Du corps burlesque à l’acte de présence par Olivier Mongin

  • Mélancolie instantanée par Patrice Rollet

  • De l’émotion et du mouvement des images par Stéphane Delorme

  • Annoncer la couleur par Jean-Claude Biette

  • Conférence de Rotterdam par Peter Wollen

  • L’effet Daney ou l’arrêt de vie et de mort par Raymond Bellour

  • Cher Serge Daney par Manoel de Oliveira

  • Fils, tu vois l’image : c’est toi par Pierre Legendre

  • La cinéphilie comme esthétique par Mikhaïl Iampolski

  • A.B. / S.D. ou les frères passeurs par Hervé Joubert-Laurencin

  • La première personne par Marie Anne Guerin

  • Comme un tour de passe-passe par Frédéric Sabouraud

  • Ciné-fils ténus et tenaces par Fabrice Revault d’Allonnes

  • Amère victoire par Víctor Erice

  • Celui qui vient après. Les antinomies de la pensée critique par Jacques Rancière

  • Pro domo par Frédéric Bonnaud

  • S.D., Serge Daney sans doute par Emmanuel Burdeau

  • L’objet critique par Hervé Gauville

  • Daney en anglais : lettre à Trafic par Jonathan Rosenbaum

  • Voyages d’Italie par Adriano Aprà

  • Des mots pour le dire par Christa Blümlinger

  • Style de Daney par Leslie Kaplan

  • Conversation avec Jacques Rivette par Sylvie Pierre et Jean-Claude Biette

  • Le mur de la lumière par Paul Virilio

  • Politique de Serge Daney par Alexandre Adler

  • Voyager le cinéma par Jean-Michel Frodon

  • L’enfant de la balle par Charles Tesson

  • L’instant du redépart : après le cinéma, le cinéma du sujet par Jean-Christophe Royoux

  • Mérimée, l’éternel scénariste par Serge Daney

 

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Traductions

Espagne : Shangrila

Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.