— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 44

Collectif


  • La politique des chairs tristes par Jean-Marie Samocki

  • Des corps renouvelés par Raymond Bellour

  • La Vie nouvelle. Correspondance par Philippe Grandrieux et Eric Vuillard

  • À la recherche de l’imprévisible contre-chant par Marcel Hanoun

  • La Philosophie dans le boudoir par João Cesar Monteiro

  • Revanches du faible. Le corps dans le cinéma de Monteiro par Fabrice Revault d’Allonnes

  • Les gestes de Jean de Dieu par Catherine Ermakoff

  • Jazzhattan par Gilles Mouëllic

  • Comment et pourquoi ? Quelques remarques sur la réalisation technique de la trilogie CinemaScope par Peter Tscherkassky

  • Singing in the rain. Supercinématographie de Peter Tscherkassky par Alexander Horwath

  • Le P.O.E.T. : rêve et film par Christa Blümlinger

  • Deux femmes visionnaires par Zoe Beloff

  • Le Mystère d’Oberwald par Jean-Claude Biette

  • L’autobiographie de Pier Paolo Pasolini par Mark Rappaportt

  • Lettre de Zurich par Vinzenz Hediger

  • Utopie et bon sens par Agustina Bessa-Luís

 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.