— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 110

Collectif


  • L’affect et le temps par Sylvie Pierre Ulmann

  • Forces d’inertie par Fabienne Costa

  • Filmer le monde qui vient par Dimitri Martin Genaudeau

  • Depuis Mediapart, récit par Naruna Kaplan de Macedo

  • Tordre le cou à l’éloquence par Nathalie Delbard

  • David Robert Mitchell, détournements de fonds par Pierre Jailloux

  • Chantal Akerman : moi et ma mère par Sylvia Acierno

  • S’il vous plaît par Gabriel Franck

  • Psychopathologie de Rainer Werner Fassbinder par Pierre Eugène

  • Neuf histoires pour Rainer Werner Fassbinder par Alexander Kluge

  • L’arche de Noé, 7 par Hervé Gauville

  • Édouard de Laurot et moi par Jonas Mekas

  • Édouard de Laurot, que faire après la libération ? par Nicole Brenez

  • Dramaturgie par Édouard de Laurot

  • Deux films siamois en Saintonge par Jacques Kermabon

  • « Journal d’un instituteur » de Vittorio de Seta par Bernard Eisenschitz

  • Aller-retour par Benoit Jacquot et Jean-Michel Frodon


 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.