— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 114

Collectif


  • Aléas de la transmission par Jacques Bontemps

  • Sébastien Lifshitz, l’inventaire infini par Amélie Galli

  • Ryûsuke Hamaguchi, la prose des récits par Marie Anne Guerin

  • N’allez pas à eux, les anges viennent à nous par Elfriede Jelinek

  • Sur les épaules d’Erich von Stroheim par Claus Philipp

  • L’arche de Noé, 11 par Hervé Gauville

  • Robert Frank à Mabou par Anne Bertrand

  • Un vaisseau pour le cinéma par Joachim Olender

  • Lettre à Kon Ichikawa par Michelangelo Antonioni

  • Antonioni : Éros, Thanatos, cosmos par Frédéric Sabouraud

  • Thomas Pynchon et ses lumières par Pierre Eugène

  • V. comme Inherent Vice par Guillaume Bourgois

  • Utopie et Apocalypse par Jonathan Rosenbaum

  • Cinémalédictions par Fabrice Revault

  • Le héros par Manny Farber

  • Les doubles jeux d’Arthur Kennedy par Amadis Chamay

  • Garder la main par Catherine Perret

 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.