— Paul Otchakovsky-Laurens

La Consolation

Frédéric Boyer

Le point de départ du récit est un fait divers réel, américain. Un homme, qui se fait passer pour médecin, et qui l’est peut-être, va de ville en ville et se lie d’amitié avec les marginaux, les déclassés, les fait parler de leur vie, de leur malheur, de leur honte à n’être qu’eux-mêmes dans ce monde cassé qu’ils voudraient fuir. Peu à peu, il amène certains à envisager le suicide comme seule solution à tous leurs maux et leur propose de passer à l’acte avec une affreuse machine de son invention. Beaucoup succombent à la tentation, quelques-uns résistent.


« Il faudrait connaître...

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La presse

Cela se passe quelque part dans notre monde, au milieu d’une gare, de la « plaine nue », dans une ville ou un village, peu importe. L’essentiel, ce sont ces visages fatigués que nous montre Frédéric Boyer sous une lumière qui ne trompe pas, cette lumière du jour « inintelligible » où nous nous savons pris jusqu’au terme inéluctable.


La Croix, 27 octobre 1991

Et aussi

Vendredi 13 novembre 2015, mémorial par Frédéric Boyer

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