La plus belle part de l’écriture d’Antoine Vitez sur le théâtre prend la forme d’une méditation dont les motifs se tissent à partir d’une autre écriture, celle des poèmes dramatiques. Lisant Claudel, Hugo, Vinaver, Brecht… Antoine Vitez écrit dans sa langue, celle des corps, des voix et de l’espace de la scène à venir, le « poème second » qu’il poursuivra avec les acteurs.
Ces textes sont le laboratoire de secrètes recherches que Paul Valéry évoquait à propos des Carnets de Léonard de Vinci : un espace de travail où le souci de la fabrique et le manifeste esthétique se...
                                    
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                    La plus belle part de l’écriture d’Antoine Vitez sur le théâtre prend la forme d’une méditation dont les motifs se tissent à partir d’une autre écriture, celle des poèmes dramatiques. Lisant Claudel, Hugo, Vinaver, Brecht… Antoine Vitez écrit dans sa langue, celle des corps, des voix et de l’espace de la scène à venir, le « poème second » qu’il poursuivra avec les acteurs.
Ces textes sont le laboratoire de secrètes recherches que Paul Valéry évoquait à propos des Carnets de Léonard de Vinci : un espace de travail où le souci de la fabrique et le manifeste esthétique se confondent.
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