La Condition d’infini 5
Sous la coupole
Jean Daive
C’est l’automne sur un monde qui finit et sur un décor à la fois fabuleux et impressionnant de surréalité : Paris, la Contrescarpe avec ses paulownias, le jardin du Luxembourg, les quais de la Seine grise. Un personnage fascinant donne une dimension démesurée à l’Histoire : Paul Celan.
Jean Daive, le narrateur, raconte, et le témoignage, en montrant comment la vie exile l’enfance, c’est-à-dire l’origine, restitue une sorte de crépuscule des dieux. L’extrême liberté des échanges, des rencontres, des promenades à l’ombre des marronniers, se fait pensée et langage en accord avec la promesse d’un effondrement universel,...
Voir tout le résumé du livre ↓
C’est l’automne sur un monde qui finit et sur un décor à la fois fabuleux et impressionnant de surréalité : Paris, la Contrescarpe avec ses paulownias, le jardin du Luxembourg, les quais de la Seine grise. Un personnage fascinant donne une dimension démesurée à l’Histoire : Paul Celan.
Jean Daive, le narrateur, raconte, et le témoignage, en montrant comment la vie exile l’enfance, c’est-à-dire l’origine, restitue une sorte de crépuscule des dieux. L’extrême liberté des échanges, des rencontres, des promenades à l’ombre des marronniers, se fait pensée et langage en accord avec la promesse d’un effondrement universel, entre autres provoqué par ce que nous vivons en permanence : un transfert d’identités qui nous déplace et nous remplace en nous-mêmes. Notre condition d’infini.
L’idée de délinquance impeccable, en action dans les deux volumes précédents, prend ici toute son amplitude au nom d’une urgence qu’il faut bien appeler destin.
Réduire le résumé du livre ↑
Feuilleter ce livre en ligne
Traductions
Allemagne : Engeler | Espagne : La Une Rota | Italie : Ibis Edizioni | Suède : Faethon | USA : Burning Deck