Né le 17/11/1941 à Lausanne, en Suisse.
Nationalités suisse et française.
Vit et travaille à Bouliac (Gironde).
1959-65 Étudie à l’École d’Art de Lausanne.
Enseigne à l’École d’Art de Lausanne de 1966 à 1971.
Réside en France depuis 1974, enseigne à l’École des Beaux-Arts de Bordeaux de 1974 à 1992.
Pensionnaire à l’Académie de France à Rome, Villa Médicis en 1986-87.
Enseigne à l’École Nationale des Beaux-Arts de Lyon de 1992 à 1997.
Vacataire à l’École d’Architecture et de Paysage de Bordeaux depuis 1996.
Enseigne à l’École supérieure d’Art et Céramique de Tarbes depuis 1998.
1967 : première exposition personnelle de peinture à la galerie de...
voir toute la biographie ↓
Né le 17/11/1941 à Lausanne, en Suisse.
Nationalités suisse et française.
Vit et travaille à Bouliac (Gironde).
1959-65 Étudie à l’École d’Art de Lausanne.
Enseigne à l’École d’Art de Lausanne de 1966 à 1971.
Réside en France depuis 1974, enseigne à l’École des Beaux-Arts de Bordeaux de 1974 à 1992.
Pensionnaire à l’Académie de France à Rome, Villa Médicis en 1986-87.
Enseigne à l’École Nationale des Beaux-Arts de Lyon de 1992 à 1997.
Vacataire à l’École d’Architecture et de Paysage de Bordeaux depuis 1996.
Enseigne à l’École supérieure d’Art et Céramique de Tarbes depuis 1998.
1967 : première exposition personnelle de peinture à la galerie de L’Entracte à Lausanne (CH) où il accroche une vingtaine de portraits d’amis peints sur et derrière des supports de plastique transparent.
De 1968 à 1973 : expose seul ou en groupe, principalement des gravures au burin, dans les musées et galeries suisses, françaises et allemandes. Paysages d’abord, puis abstraction symbolique où apparaît, à travers une forme érigée, une figure très archaïque de figure humaine. Entrée de la photographie, par collage dans la transparence du papier imprimé. Début d’une longue collaboration avec la galerie-librairie de Fleuve à (F) Bordeaux. Rencontre Jean-Louis Froment et Michel Bourel.
1972 : premiers dessins sur photographie. La figure se précise. Les premières autoreprésentations apparaissent.
1973 : rencontre Rodolphe Stadler. Première exposition à la Galerie Stadler, à (F) Paris. Travaux de dessin sur photographie qui se situent en marge de l’Art Corporel. Cette collaboration, à travers 13 expositions personnelles, dure toujours. Rencontre Marcel Cohen.
1974 : ARC2, Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Rencontre Olivier Kaeppelin. Arrive en France et s’établit à Fargues St-Hilaire, en Gironde. Enseigne à l’École des Beaux-Arts de (F) Bordeaux.
1976 : CAPC de Bordeaux, Identité/Identifications.
1979 : publie chez Rodolphe Stadler Ce livre d’images... comme un bilan de 8 années de travail sur les notions d’identité et de rapport entre modèle, peintre et tableau.
1981 : reprend la peinture. Abandon du papier marouflé au profit du contreplaqué. Collage systématique d’une ou plusieurs photographies au centre du tableau.
1982 : rencontre Claude Ritschard.
1983 : abandon de l’autoreprésentation. Le peintre, le modèle et le dispositif de l’atelier, dans leur imbrication, deviennent le sujet principal.
1984 : CAPC Musée d’Art Contemporain de Bordeaux. Rencontre Jacques Henric.
1985 : simplification du sujet, le modèle devient le centre du tableau. La peinture s’obscurcit. Parallèlement au contreplaqué, travaille aussi sur du carton gris. Début d’une collaboration avec la Galerie de Jacques Girard à Toulouse.
1986 : Musée des Beaux-Arts et Musée de l’Elysée, à Lausanne. Lauréat de l’Académie de France à Rome, séjourne une année à la Villa Médicis. Abandon de la photographie dans certaines peintures. Rencontre Emmanuel Hocquard.
1986-89 : après une collaboration avec la cinémathèque de Toulouse sur l’« effet Godard » et une exposition au CRAC de Valence dans le cadre des 6e rencontres Cinéma et Littérature, expose à la Maison de la Culture de La Rochelle (F) lors de la rétrospective Jean-Luc Godard.
1990 : rencontre Charles-Henri Favrod autour du projet d’exposer au Musée de l’Elysée de Lausanne (CH) l’ensemble des petits montages photographiques préparatoires à la réalisation des peintures.
1991 : fait partie de l’exposition 8 peintres vaudois Rumine « pour la gloire » au Musée des Beaux-Arts de Lausanne, Bündner Kunstmuseum à Chur (CH) et à la Galerie de l’Université de Montréal (Can).
Hier je n’ai pris aucune photographie, Musée de l’Elysée, (F) Lausanne.
1992 : Ces choses « perdues de vue », galerie Stadler, Paris. « J’ai rencontré trois fois les Étrusques », galerie Stadler, (F) Paris.
1994 : Voyage à Reykjavik, film/chronique vidéo de 42 mn, réalisé avec Emmanuel Hocquard et Juliette Valéry. Distribution Kiosque, (F) Bordeaux.
1995 : L’atelier de montage, exposition de 11 tableaux qui mettent en question l’unité du tableau au profit du « tableau-comme-un-assemblage », galerie Stadler, (F) Paris.
1996 : Peintures récentes, galerie Jacques Girard, (F) Toulouse : peinture sur photographie. Les photographies sont tirées « à cheval » sur 2 vues et la peinture détoure soigneusement les figures.
1998 : Le Voyage à Reykjavik, livre réalisé avec Emmanuel Hocquard, P.O.L, (F) Paris, rencontre Paul Otchakovsky-Laurens.