Ce Dvd contient la captation vidéo intégrale de la pièce de Valère Novarina La Scène que nous avons publiée et qui a été représentée au Théâtre de la Colline, où a eu lieu l’enregistrement, en novembre 2003. La mise en scène de la pièce proprement dite et les décors sont de Valère Novarina, la réalisation de la vidéo est co-réalisée par Valère et Virgile Novarina
Langues à vif, dialectes oubliés, latin animal, grec de cirque, patois en perdition ou néologismes jaillissants : le langage de Valère Novarina est...
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Ce Dvd contient la captation vidéo intégrale de la pièce de Valère Novarina La Scène que nous avons publiée et qui a été représentée au Théâtre de la Colline, où a eu lieu l’enregistrement, en novembre 2003. La mise en scène de la pièce proprement dite et les décors sont de Valère Novarina, la réalisation de la vidéo est co-réalisée par Valère et Virgile Novarina
Langues à vif, dialectes oubliés, latin animal, grec de cirque, patois en perdition ou néologismes jaillissants : le langage de Valère Novarina est singulier. Du Discours aux animaux à L’Origine rouge, du Drame de la vie à L’Opérette imaginaire il donne à voir le verbe théâtral comme substance charnelle, parfois douloureuse, souvent comique. Que voit-on sur scène ? Les acteurs chutent. Souffrent-ils vraiment ? La passion qui s’offre devant nous est-elle celle de l’acteur ou du langage ? La parole est-elle notre matière véritable – comme le bois pour Pinocchio ? Sommes-nous en mots comme les pantins sont en bûches ? Sommes-nous les jouets de ce que nous entendons ? Comment se développe et s’explique dans l’espace, comment se déplie le tissu respiré du langage ? Comment le spectateur se souvient-il de l’envers des mots et toujours du négatif de la scène précédente ? Pourquoi l’acteur entre-t-il ? Que voit-on dans le langage ? Rien ? Toutes les choses ? Est-il notre chair ? Est-il la matière même ? Le langage est-il l’Acteur de l’Histoire ? Retournant sur les lieux de L’Origine rouge, Valère Novarina poursuit et précise sa recherche d’un théâtre où le spectateur et l’acteur seraient agis par la force « hallucinogène, salvatrice et terrifiante » des mots – et où sur scène, par instants, la parole se verrait.
La pièce dure environ deux heures et vingt minutes. Un bonus, L’envers de la scène, reportage sur les répétitions à Avignon, et dans certains des théâtres où ont eu lieu les représentations, viendra porter la durée totale du disque à environ 2h30. Le spectacle, qui a beaucoup tourné, a été vu par plus de 10 000 spectateurs.
Coédité avec Dernière bande music.
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