Neuf nouvelles se succèdent chacune avec leur univers propre de mal-être, de douleur, d’impossibilités, de chemins qui ne se croisent jamais vraiment. Des passants, ivres d’amour. Aimée-Sophie qui scrute Jacques-Paul, une caresse, un bout de sein devenu ferme. Tout cela dit avec élégance.
« “J’ai envie de te dire, oui, combien j’aime l’amour, en quoi, comment l’amour nous relie aux tout premiers temps de l’histoire et aussi aux tout derniers paradoxalement, parce qu’il y a toujours dans l’amour ceci de sauvage qui le laisse autonome de tout mode de civilisation...” Elle s’arrête net, voyant l’autre qui ne fait qu’une moue. Elle dit :...
Voir tout le résumé du livre ↓
Neuf nouvelles se succèdent chacune avec leur univers propre de mal-être, de douleur, d’impossibilités, de chemins qui ne se croisent jamais vraiment. Des passants, ivres d’amour. Aimée-Sophie qui scrute Jacques-Paul, une caresse, un bout de sein devenu ferme. Tout cela dit avec élégance.
« “J’ai envie de te dire, oui, combien j’aime l’amour, en quoi, comment l’amour nous relie aux tout premiers temps de l’histoire et aussi aux tout derniers paradoxalement, parce qu’il y a toujours dans l’amour ceci de sauvage qui le laisse autonome de tout mode de civilisation...” Elle s’arrête net, voyant l’autre qui ne fait qu’une moue. Elle dit : “Quand l’amour c’est toujours hors.” Elle rit, le laisse en plan, se tire. Se retourne un instant pour filer un regard à Aimée-Sophie.
Elle part, refuse qu’on lui appelle un taxi, elle est partie. Anna Julie ou Katia marche dans la nuit des rues, furieuse, seule et joyeuse. Ivre d’amour. »
Réduire le résumé du livre ↑