En imprimerie, « l’effet fantôme », c’est ce que provoque parfois la transparence du papier lorsqu’elle nuit à la lisibilité, les pages se superposant. Ici, le fantôme, c’est un peu la résurgence d’autres livres en tant qu’ils se donnent par bribes, comme des souvenirs obsessionnels, lieux communs de lecture, de fiction, de littérature.
Les chapitres de ce livre (la nuit – le jardin – la maison – les lumières – le ciel – les fenêtres – les ombres) se composent dans un environnement que la poésie a communément visité, des passages autrefois obligés. Ainsi de texte en texte, de...
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En imprimerie, « l’effet fantôme », c’est ce que provoque parfois la transparence du papier lorsqu’elle nuit à la lisibilité, les pages se superposant. Ici, le fantôme, c’est un peu la résurgence d’autres livres en tant qu’ils se donnent par bribes, comme des souvenirs obsessionnels, lieux communs de lecture, de fiction, de littérature.
Les chapitres de ce livre (la nuit – le jardin – la maison – les lumières – le ciel – les fenêtres – les ombres) se composent dans un environnement que la poésie a communément visité, des passages autrefois obligés. Ainsi de texte en texte, de page en page, suspendu, flottant, un « déjà lu » que nous partageons mystérieusement, une autre lisibilité, nuageuse, un savoir énigmatique et fuyant mais dont nous sommes si riches.
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