Au bout d’un temps d’exposition variable mais long, l’intensité du regard qu’on porte sur Laurent de Médicis change en intimité sa profondeur. Lorsqu’on s’en aperçoit, je sais qu’on pense il me regarde aussi, et qu’on ne l’en aime en retour que davantage. (On pense plus vite qu’on ne croit). Dans cette histoire, Mon Laurent compose un poste d’observation des regards, un point de vue mobile, télescopique, infiniment souple. C’est de votre œil – position, acuité, densité – que dépend ainsi sa capacité à retourner le sablier, à changer son intimité en profondeur. Lorsqu’on y est, je crois...
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Au bout d’un temps d’exposition variable mais long, l’intensité du regard qu’on porte sur Laurent de Médicis change en intimité sa profondeur. Lorsqu’on s’en aperçoit, je sais qu’on pense il me regarde aussi, et qu’on ne l’en aime en retour que davantage. (On pense plus vite qu’on ne croit). Dans cette histoire, Mon Laurent compose un poste d’observation des regards, un point de vue mobile, télescopique, infiniment souple. C’est de votre œil – position, acuité, densité – que dépend ainsi sa capacité à retourner le sablier, à changer son intimité en profondeur. Lorsqu’on y est, je crois qu’on pense ce livre me regarde aussi.
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