— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 86

Collectif

  • Lincoln center. À propos du film de Spielberg et de quelques autres par Bernard Benoliel

  • Le charme discret de Whit Stillman par Frédéric Majour

  • Louie et nous, le cas C.K. par Emmanuel Burdeau

  • Texte d’introduction pour l’exposition à la Serpentine par Jonas Mekas

  • Jonas Mekas, l’image ouverte par Federico Nicolao

  • Lettre par José Luis Guerin

  • Sylvia quitte ou double par Raymond Bellour

  • Les morts par Víctor Erice

  • José Luis Guerin, à la recherche du temps perdu dans l’espace par Judith Revault d’Allonnes

  • Spectres. Notes sur Spectres de Sven Augustijnen par Jean-Pierre Rehm

  • Éclats de lumière par Jacques Rancière

  • Ne vois-tu pas que je brûle?? par Gabriel Bortzmeyer

  • Notes fugitives / gestes cannibales. Extraits du journal de travail sur un film en cours : Vers Madrid – The Burning Bright?! par Sylvain George

  • Gilda, la femme au gant par Hervé Gauville

  • Conversation à propos de Jacques Tourneur par Pedro Costa et Chris Fujiwara

  • Lettre à Jacques Tourneur par Marylène Negro

  • Damier par Jean Louis Schefer

  • Carnets de Contes cruels de la jeunesse par Nagisa Oshima (présentation par Mathieu Capel)

 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.