— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 87

Collectif

  • Sous le plus grand chapiteau du monde par Mathieu Macheret

  • De Palma, la ligne déréglée par Elsa Boyer

  • Les écrans partagés de Brian De Palma par Juliette Goffart

  • La Ligne de mire, ou la répétition originelle par Jean-Paul Fargier

  • Le basculement narratif dans les films de Hayao Miyazaki par Hervé Joubert-Laurencin

  • Brève défense du dessin animé (Hayao Miyazaki) par Olivier Maillart

  • Deux ou trois choses que je sais de Chihiro par Laurent de Sutter

  • L’union du quelconque. À propos de Calamari Union d’Aki Kaurismäki par Pavel Moscicki

  • The Curse of the Cat People par James Agee

  • L’enfant-spectateur de The Curse of the Cat People par Raymond Bellour

  • 1895 X 2013 par James Benning
  • Crise, compulsion et création : Raoul Walsh et son cinéma de l’individu par Dave Kehr

  • Electric Walsh. Manpower (L’Entraîneuse fatale) par Fabrice Revault

  • Ce brigand, là. Colorado Territory de Raoul Walsh par Pierre Gabaston

  • Au bal du Guépard par Hervé Gauville

  • Confessions d’un figurant par Mark Rappaport

  • Ciné bulles 2 par Daniel Percheron

  • Bruits de fond par Olivier Schefer

 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.