Mes derniers mots
Santiago H. Amigorena
Nous sommes en juin 2086. La fin du monde a bien eu lieu. Il ne reste plus que deux êtres humains sur toute la surface du globe : un vieil homme qui va mourir le lendemain et un jeune homme pour raconter la fin de l’histoire. Ces derniers survivants contemplent les ruines de l’humanité. Les guerres ont cessé. La soif et la faim ont disparu. Les monstres que l’homme avait créés ont peu à peu déserté le monde. Fallait-il une si grande destruction pour que l’on puisse de nouveau s’émouvoir devant la simple beauté d’une rose ? Faudra-t-il que l’homme meure pour qu’il mesure la grandeur de ce qu’il a été ?
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Nous sommes en juin 2086. La fin du monde a bien eu lieu. Il ne reste plus que deux êtres humains sur toute la surface du globe : un vieil homme qui va mourir le lendemain et un jeune homme pour raconter la fin de l’histoire. Ces derniers survivants contemplent les ruines de l’humanité. Les guerres ont cessé. La soif et la faim ont disparu. Les monstres que l’homme avait créés ont peu à peu déserté le monde. Fallait-il une si grande destruction pour que l’on puisse de nouveau s’émouvoir devant la simple beauté d’une rose ? Faudra-t-il que l’homme meure pour qu’il mesure la grandeur de ce qu’il a été ?
La première édition de ce livre est parue en 2015. Le texte de Santiago Amigorena prend aujourd’hui,
après la pandémie du Covid, une résonnance particulière.
Cette édition en format poche paraît à l’occasion de la sortie au cinéma de Last Words (mes Derniers mots), film réalisé par Jonathan Nossiter, (le réalisateur de Mondovino), d’après le roman de Santiago Amigorena avec notamment Nick Nolte et Charlotte Rampling.
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Traductions
Espagne (Castillan) : Literatura Random House | Espagnol (catalan) : Edicions 62
La presse
Repartir de zéro
Nous sommes en juin 2086. La fin du monde a bien eu lieu. Deux personnes ont survécu. William Shakespeare, vieil homme de 124 ans qui, bientôt, s’éteint en silence, et le narrateur, parcourant, depuis Athènes, les ruines de l’humanité pour témoigner de ce qu’il voit. La soif et la faim ont disparu. Les monstres que I’homme avait lui-même engendrés ont déserté la planète. Fallait-il une si grande destruction pour de nouveau s’émouvoir devant la simple beauté d’une rose ? Faudra-t-il que I’homme meure pour qu’ il mesure la grandeur de ce qu’ il a été ? Ce sont tous ces questionnements qui traversent le récit de Santiago Amigorena, oscillant entre fatalité et consternation. Soixante-dix ans avant leur extinction, les hommes auront-ils le courage de I’optimisme ou resteront-ils des prophètes de I’apocalypse ?
Paul-Henry Bizon, The Good Life, avril/juin 2015