— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 103

Collectif


  • Au pays des images noires par Mathieu Macheret

  • L’âge de Garrel. Notes contemporaines à L’Amant d’un jour par Gaspard Nectoux

  • Partages du visible. À propos d’À discrétion de Cédric Venail
    par Jacques Bontemps

  • À l’aube de Beyrouth. Quelques jours à l’ALBA par Saad Chakali

  • M. Night Shyamalan : angoisse et ironie par Emmanuel Levaufre

  • « Nous » est un autre. Split de M. Night Shyamalan par Frédéric Majour

  • After Men. Phénomènes et After Earth de M. Night Shyamalan par Fernando Ganzo

  • Moyens de transport. Incassable de M. Night Shyamalan par Fabienne Costa

  • La marginalisation du cinémapar Kent Jones

  • Le temps bouclé par Jacques Aumont

  • Animal flickerpar Érik Bullot

  • L’intensité du cinéma par Paolo Bertetto

  • Out 1 ou le sens suspendu par Suzanne Liandrat-Guigues

  • L’art de l’oxymore. Aimer, boire et chanter d’Alain Resnais par Cristina Álvarez López

  • Un braconnier. Jean Painlevé, 1902-1989 par Frieda Grafe

  • Les pieds dans l’eau par Jean Painlevé

  • Le spectateur par Andrés Caicedo (présentation par Camila Beltrán)

 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.