— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 105

Collectif


  • Au cinéma avec Paul Otchakovsky-Laurens par Valérie Mréjen

  • « Étranges figures » du cinéma français par Marie Anne Guerin

  • Personnages en quête de lumière. En attendant les barbares d’Eugène Green par Paul Choquet

  • Les fantômes de Yamagata par Clément Rauger

  • Éloge d’Agnès Varda par Christa Blümlinger

  • Éloge de la curiosité. Agnès Varda par António Preto

  • Les vivants et les morts. Marker, Resnais et Les statues meurent aussi par Sam Di Iorio

  • Un film sauvé par l’amour. Son chemin d’Alexandre Chtrija par Irène Bonnaud

  • Un ange, des diables. Une fois, la nuit de Boris Barnet par Fabrice Revault

  • L’arche de Noé, 2. Arènes sanglantes de Rouben Mamoulian par Hervé Gauville

  • Slave to love. Trois tyrans par Mathieu Macheret

  • La menace étrangère par Josef von Sternberg (présentation par Janet Bergstrom)

  • Filmer une pensée. The Salvation Hunters de Josef von Sternberg par Janet Bergstrom

  • Quatre plans sur vingt-quatre par Raymond Bellour

  • Fleurs de tragédie. Le pathos ornemental de Sternberg/Dietrich par Olivier Cheval

  • Dr. Sternberg & Mr. Mamoulian par Gaspard Nectoux

  • La collection particulière de Josef von Sternberg par Théo Esparon

  • L’Année dernière à Marienbad. Essai d’interprétation par Geneviève Bollème


 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.