— Paul Otchakovsky-Laurens
Le Roi Lear d'après William Shakespeare mis en scène par Thomas Oste...
Alain Guiraudie à la galerie Crèvecœur rue de Beaune (Paris)
La Maladie de Sachs de Martin Winckler mis en scène par Delphine Lefr...
Liliane Giraudon à la galerie Immanence (Paris)
Liliane Giraudon au Salon Project à Artists Print X (Schaerbeek)
Célia Houdart au Festival Lecture par Nature (Salon-de-Provence)
Iegor Gran à la librairie La Page (Londres)
Ryoko Sekiguchi au Café des Champs Libres (Rennes)
Mattia Filice à la librairie les Cahiers de Colettes (Paris)
Emmanuelle Bayamack-Tam à la librairie Le Parvis (Pau)
Leslie Kaplan à la Sorbonne Nouvelle (Paris)
Bertrand Schefer à la librairie Les Traversées (Paris)
Emmanuelle Bayamack-Tam au festival Atlantide (Nantes)
Emmanuelle Bayamack-Tam au Festival Atlantide, Les Mots du Monde (Nant...
Suzanne Doppelt à Institut français du Royaume-Uni (Londres)
Christine Montalbetti, Lucie Rico et Robert Bobert à la Fête du livr...
Mathieu Amalric lit Pascalle Monnier Maison de la Poésie (Paris)
Olivier Cadiot à la Maison de la Poésie (Paris)
Leslie Kaplan à la Haute École des Arts du Rhin (Strasbourg)
Mattia Filice à la librairie Folies d'Encre (Le Raincy)
Lucie Rico à la librairie De beaux lendemains (Bagnolet)
Leslie Kaplan au festival Récidive (Orléans)
Laure Gouraige à la la Bibliothèque Andrée Chedid (Paris)
La Vie des formes conception et interprétation par Célia Houdart et ...
"Writing… And then Writing Again: Marie Darrieussecq Explores the Ar...
Louise, elle est folle de Leslie Kaplan mis en scène par Esther Wahl ...
Gérard Gavarry invité des Mardis littéraires du Café de la Mairie ...
Leslie Kaplan à l’École supérieure d’art dramatique Ernst Busch...
40 ans des éditions P.O.L à l'invitation de la Maison de la Poésie ...
Leslie Kaplan à la Malmö University (Malmö)
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septembre 2018 144 pages, 19 € ISBN : 978-2-8180-46159
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Revue de cinéma fondée par Serge Daney
Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma. Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa. Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.