— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 64

Collectif


  • L’ordre du jour par Pierre Léon

  • « Ce ne peut être que la fin du monde, en avançant » par Leslie Kaplan

  • Le « Film » de James Coleman par Raymond Bellour

  • Histoire d’une installation (surla Coupe du monde de football) par Harun Farocki

  • Sur Gilles et La Peau (notes de travail) par Thierry Kuntzel

  • La Morte Rouge par Victor Erice

  • Jour après jour par Jean-Paul Fargier

  • Loin de la Terre, Méditerranée par Maël Renouard

  • Le lieu et la formule par Jean Durançon Tom Hanson, Gianfranco Rosi, Jean-Daniel Pollet

  • Sept ans après Les Glaneurs et la Glaneuse par Hervé Gauville

  • Les dames du passage Pommeraye par Suzanne Liandrat-Guigues

  • Jacques Demy à Hollywood par Antony Fiant

  • Lettre de Los Angeles par Bill Krohn

  • Incipit américains (3) par Pierre Gabaston

  • Le dernier des gongmen par Mark Rappaport

  • Deux lettres à William Carlos Williams par Louis Zukofsky

 

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Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.