— Paul Otchakovsky-Laurens

Beau voir

Sébastien Smirou

Cette fois, c’est autour d’un bestiaire que le « poste d’observation des regards » s’est constitué – en miroir, donc. Mais bien qu’il débute par un lion et qu’il ordonne ensuite classiquement les animaux en fonction de leur degré de sauvagerie et de leur taille, il s’inscrit davantage dans une vision profane du genre que dans sa visée chrétienne. Pas de vertu particulière à mettre en scène, pas de dindon de la farce, pas de fable à raconter ; juste la tentative, à chaque fois, de mieux cerner « l’animal que donc je suis », pour reprendre la dernière grande formule de Jacques Derrida. Par...

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