— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 71

Collectif


  • Le fait du cinéma par Emmanuel Burdeau

  • Académique, surréaliste ? par Dominique Païni

  • Le Premier Fado à New York par Jacques Bontemps

  • Lettre à Paul Otchakovsky-Laurens par Judith Cahen

  • Acte de filmer et conscience filmique dans mon cas particulier par Manoel de Oliveira

  • Énigmatique toujours par Mathias Lavin

  • La pataclinique de Luc Moullet par Fabrice Revault

  • Le gai savoir de Luc Moullet par Jean Narboni

  • Génie du mélodrame par Luc Moullet

  • Valerio Zurlini ou la fièvre intérieure par Jean Durançon

  • « Supprimez la hiérarchie, détendez cette corde » par Olivier Maillart

  • Fellini roman par Raymond Bellour

  • À contre-jour par Pierre Léon

  • La face hippocratique par Nathalie Mary

  • Fantasmatiques des couleurs du sang par Marie Martin

  • Van Gogh, le suicidé du cinéma par Hervé Gauville

  • Godard changé en fleur par Pierre Eugène

  • Retour sur Histoire(s) 2 par Jean-Louis Leutrat

  • Sur la structure dialectique du film par Walter Benjamin


 

Consulter les premières pages de l'ouvrage Trafic 71

Feuilleter ce livre en ligne

Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.