La vie tu parles c’est un peu l’histoire d’amour de Libé et de ses lecteurs. En effet, ce journal est né en 1973 d’un formidable besoin d’expression de la génération post-gauchiste qui ne se reconnaissait pas dans les médias d’alors. A force de recevoir des lettres peu banales de ces lecteurs, Françoise Fillinger, Jean-Marie-Bartel et Bruno Montels ont eu l’idée de les réunir en un livre. Ce sont 160 de ces lettres que tous trois ont choisi, en toute subjectivité. Ce « roman collectif » est devenu un grand feuilleton moderne : à force de piocher avec rage dans les signes de la vie, les lecteurs décapent,...
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La vie tu parles c’est un peu l’histoire d’amour de Libé et de ses lecteurs. En effet, ce journal est né en 1973 d’un formidable besoin d’expression de la génération post-gauchiste qui ne se reconnaissait pas dans les médias d’alors. A force de recevoir des lettres peu banales de ces lecteurs, Françoise Fillinger, Jean-Marie-Bartel et Bruno Montels ont eu l’idée de les réunir en un livre. Ce sont 160 de ces lettres que tous trois ont choisi, en toute subjectivité. Ce « roman collectif » est devenu un grand feuilleton moderne : à force de piocher avec rage dans les signes de la vie, les lecteurs décapent, découvrent, inventent et nous donnent à lire une histoire des mœurs et des mentalités en France sur une période de dix ans, de 1973 à 1983.
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