— Paul Otchakovsky-Laurens

Trafic 27

Collectif


  • La première héroïne, par Frédéric Bonnaud

  • À propos du projet « Vollmond », par Fredi M. Murer

  • Les mots de l’origine, par Martin Schaub

  • Du passage de quelques cow-boys dans un paysage urbain désolé, par Louis Skorecki

  • The Bullfighter and the Lady, par Budd Boetticher

  • L’art pseudo-populaire, par James Agee

  • Agee, plus près de toi, mon vieux, par Manny Farber

  • They Drive by Night : la critique de Manny Farber, par Jonathan Rosenbaum

  • À propos de Jonathan Rosenbaum, par Kent Jones

  • L’homme qui rétrécit, par Anne-Marie Garat

  • Cluny Brown, par Jean-François Buiré

  • La chambre de mort, par James Naremore

  • Strindberg photographe, par Jean Louis Schefer

  • Les films objets, par Alberto Tabbia

  • Journal télévisé, par Sylvie Pierre

  • Qu’est-ce que l’acte de création ?, par Gilles Deleuze

 

Consulter les premières pages de l'ouvrage Trafic 27

Feuilleter ce livre en ligne

Revue de cinéma
fondée par Serge Daney

Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d’images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.

Les images du cinéma sont très précieuses parce qu’elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d’émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images – et vice versa.

Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd’hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l’image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l’écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C’est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d’amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d’informateurs, voire de poser des questions ailleurs.