Le narrateur se soumet à quatre expériences. La première est de sortir. La deuxième, de passer le temps. La troisième, de rentrer chez soi. La quatrième de regarder.
Récit d’une aventure.
Le narrateur – ce n’est pas un roman – se livre à une débauche de lectures d’ouvrages spécialisés« lu sans comprendre grand-chose un article de mathématiques sur les chaos déterministes », « lu un article sur le rythme des perceptions », etc. On pourrait craindre le pire. Ça donne le meilleur ; une prose (en poèmes) inédite comme un objet technologique dont on nous montrerait les pièces et les assemblages sans qu’on ait pour l’admirer, besoin de consulter les plans tracés, le dessin des circuits intégrés ou la notice d’entretien.
Vendredi 13, n° 3, octobre 1992