— Paul Otchakovsky-Laurens

Wanderlust et les Oxycèdres

Claude Ollier

Les deux anesthésistes chinois ont minutieusement préparé le corps du patient, mais ce dernier passe de vie à trépas quelques instants plus tard.
Le pays où il échoit est étrange à plus d’un titre : la végétation ne se compose que d’un seul arbre reproduit à l’infini, et un seul habitant y vit, que l’approche d’une décision définitive sur son sort rend fébrile et inquiétant.
Le nouveau venu cependant ne se laisse pas impressionner, il comprend assez vite que cette décision dépend essentiellement de son attitude face aux événements, de sa façon de prendre les choses, de les relativiser. Tandis que son...

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La presse

« Pas un roman, certes, plutôt un long poème en prose, comme les ultimes essais baudelairiens, tendrait au récit et affirmerait contre la fatigue du corps, les sournoises vacheries de l’âge, et la mort qui vient, toujours imminente à quelque promontoire de la vie qu’on se tienne pour faire le point, le pouvoir souverain de l’art, qui toujours, fût-il chantre de Dom Juan descendant aux Enfers, dit à la réalité cruelle : Non ! »


La Quinzaine littéraire, 16 mai 2000

Et aussi

Claude Ollier est mort.

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