— Paul Otchakovsky-Laurens

Du carnage à la une

Raphaël Majan

Une simple approximation dans les mots croisés et c’est la liberté de la presse qui est en danger. Si L’Aube a tout à fait le droit d’être un quotidien qui dénonce certains agissements excessifs de la police, il serait cependant hypocrite de s’étonner ensuite que le commissaire Liberty vienne mettre son nez dans la marche de l’entreprise, ses coucheries professionnelles et ses jalousies privées. Quand un enquêteur dégote un scoop sur un trafic d’armes, il doit bien s’attendre à des représailles, pour ça ou pour autre chose. Si on choisit d’être journaliste, il faut en assumer les risques, fût-ce les plus imprévus.

 

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