Il nous a paru évident alors que nous publions Je vais, je vis, de rééditer un texte d’Hubert Lucot paru en 1980 chez Hachette P.O.L. En fait trois textes en un volume puisque cet « autobiogre » est précédé d’une évocation du frère de l’auteur mort dans la catastrophe du tunnel de Vierzy, et suivi de Mê, dont l’auteur dit qu’il « est un rejet (ou surgeon) de l’Autobiogre d’A.M.75 ».
Quant à Autobiogre d’A.M.75 le mot-valise inventé par Hubert Lucot dit bien ce dont il s’agit. Dévoration en même temps qu’adoration de la femme aimée, ce texte, le...
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Il nous a paru évident alors que nous publions Je vais, je vis, de rééditer un texte d’Hubert Lucot paru en 1980 chez Hachette P.O.L. En fait trois textes en un volume puisque cet « autobiogre » est précédé d’une évocation du frère de l’auteur mort dans la catastrophe du tunnel de Vierzy, et suivi de Mê, dont l’auteur dit qu’il « est un rejet (ou surgeon) de l’Autobiogre d’A.M.75 ».
Quant à Autobiogre d’A.M.75 le mot-valise inventé par Hubert Lucot dit bien ce dont il s’agit. Dévoration en même temps qu’adoration de la femme aimée, ce texte, le premier d’Hubert Lucot publia dans le circuit traditionnel, inaugure une étonnante œuvre autobiographique. L’écriture y est beaucoup plus expérimentale que celle que nous connaissons aujourd’hui mais elle porte en elle toutes les promesses que les quinze livres qui suivront (pour ne parler que des publications les plus importantes) tiendront spectaculairement.
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