Santiago H. Amigorena écrit, depuis vingt-cinq ans, un projet littéraire qu’il a nommé, pour lui-même, Le Dernier Livre. Ce projet comporte six parties qui couvrent chacune six années de la vie du narrateur.
La première partie, publiée en 1998, s’intitule Une enfance laconique et se compose de deux chapitres : Le premier cauchemar, qui raconte pourquoi, à l’âge de dis-moi, l’obscurité commença de lui faire peur, et La Première Lettre, qui s’achève en 1968, lorsque le narrateur, muet de naissance et plus, apprend enfin à écrire.
Une jeunesse aphone, deuxième partie du projet, comporte également deux chapitres : Les premiers arrangements, publié en 2002, qui révèle la manière dont le narrateur, en 1973,...
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Santiago H. Amigorena écrit, depuis vingt-cinq ans, un projet littéraire qu’il a nommé, pour lui-même, Le Dernier Livre. Ce projet comporte six parties qui couvrent chacune six années de la vie du narrateur.
La première partie, publiée en 1998, s’intitule Une enfance laconique et se compose de deux chapitres : Le premier cauchemar, qui raconte pourquoi, à l’âge de dis-moi, l’obscurité commença de lui faire peur, et La Première Lettre, qui s’achève en 1968, lorsque le narrateur, muet de naissance et plus, apprend enfin à écrire.
Une jeunesse aphone, deuxième partie du projet, comporte également deux chapitres : Les premiers arrangements, publié en 2002, qui révèle la manière dont le narrateur, en 1973, découvrit la politique et sa plus noble possibilité (l’amitié) ; et Le Premier Exil, à paraître.
Une adolescence taciturne, troisième partie du projet, se compose du Second Exil (publié en 2002), où le narrateur endure l’une des deux douleurs aiguës autres que dentaires les plus déchirantes de sa vie (celle d’avoir été arraché à sa langue maternelle), et des Premières Fois (publié en 2016), vaste catalogues des premières fois de l’adolescence qui s’achève par la dernière (celle où le narrateur fait l’amour pour première fois).
La quatrième partie, Une maturité coite, couvre les six années suivantes et se compose également de deux chapitres : les joies intenses des deux ans du Premier Amour (2004) et les intenses souffrances des quatre années de la Première Défaite (2012).
Le Premier Silence et L’Autre Silence, dont l’écriture n’est pas encore commencée, seront respectivement le premier et le second chapitre d’Une vieillesse discrète, cinquième partie du projet.
Et enfin (et ouf ! pourrait-on dire et observer), la sixième partie, pour des raisons qu’il est prématuré d’expliquer ici, aura pour titre La Septième Partie.
Un certain nombre d’annexes, écrites sur des modes mineurs, sont également au programme.
Certaines ont déjà été publiées (1978, 2003 parue sous le titre Des jours que je n’ai pas oubliés, 2086 parue sous le titre Mes derniers mots), d’autres (1941, 1983, 2008, 1780, 2005) ne sauraient tarder.
- Les Ithaques, the Toronto Center for Contemporary Art, Toronto 1986, édition limitée à XXV exemplaires numérotés, gravures originales, xérographie et portrait de l’auteur par Kazimir Glaz
- Deux Nouvelles, in La Trézième n°1, Paris 1985
- Divers articles parus dans La lettre du cinéma et un article unique paru dans les Cahiers du cinéma.
Une trentaine de scénarios pour des long-métrages de cinéma dont Les gens normaux n’ont rien d’exceptionnel de Laurence Ferreira Barbosa, Le fils du requin d’Agnès Merlet, Samba Traoré d’Idrissa Ouédraogo, Le Péril Jeune de Cédric Klapisch, Post Coïtum Animal Triste de Brigitte Roüan, Le silence de Rak de Christophe Loizillon, Tokyo Eyes de Jean-Pierre Limosin, La révolution sexuelle n’a pas eu lieu de Judith Cahen.
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