10 février 2010, 22h51 par Patrick Varetz
La vitrine que nous longeons sépare d’un côté le vide, et, de l’autre, un vide encore plus grand que chacun redoute de mesurer. Nous avançons mécaniquement, plongeant sans plus de difficulté vers l’horreur que nous pressentons. À notre droite, du côté des fenêtres — là où nous nous tournons pour...
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