Baron Schefer de Carlwaldt, arrière petit-fils de Charles, Henri, Auguste Schefer.
Formation philosophique puis, diplôme de l’École des Hautes Etudes sur « Les écritures figuratives, un problème de grammaire égyptienne » (rapporteurs R. Barthes, A. Greimas).
1965-66 travaille comme philologue pour la rédaction d’un dictionnaire italien et français à Milan
1967-68 habite Venise où il rédige son premier livre, Scénographie d’un tableau, publié en 1969 ; participe au premier structuralisme (sémiologie des arts visuels).
Collabore aux revues Tel Quel, Communications, Information sur les sciences sociales, Littérature, Critique, Cahiers du Cinéma.
Enseigne de 1970 à 1980 sa recherche...
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Baron Schefer de Carlwaldt, arrière petit-fils de Charles, Henri, Auguste Schefer.
Formation philosophique puis, diplôme de l’École des Hautes Etudes sur « Les écritures figuratives, un problème de grammaire égyptienne » (rapporteurs R. Barthes, A. Greimas).
1965-66 travaille comme philologue pour la rédaction d’un dictionnaire italien et français à Milan
1967-68 habite Venise où il rédige son premier livre, Scénographie d’un tableau, publié en 1969 ; participe au premier structuralisme (sémiologie des arts visuels).
Collabore aux revues Tel Quel, Communications, Information sur les sciences sociales, Littérature, Critique, Cahiers du Cinéma.
Enseigne de 1970 à 1980 sa recherche (problèmes d’analyse picturale, sciences modernes de la signification, pour une histoire de la culture), aux universités de Paris I, Paris VIII, et tient un séminaire de recherche à l’École normale supérieure (Ulm).
En 1975 publie son second livre sur le problème du temps chez saint Augustin (L’Invention du corps chrétien : résultat de son enseignement rue d’Ulm : le droit romain et la première théologie). Élabore des essais théoriques sur l’économie du signe dans les systèmes figuratifs : publication d’essais sur la peinture et le cinéma.
En 1981 quitte l’enseignement pour fonder une structure d’édition (publication du De Constantia jurisprudentis de Giambattista Vico).
Durant les années 1980 travaille avec des préhistoriens (nombreuse visites de grottes paléolithiques) sur l’interprétation des figures pariétales (publication en 1999 d’un ouvrage Questions d’art paléolithique).
À partir de 1997 publie ses ouvrages aux éditions P.O.L, alterne les essais critiques sur les arts visuels (peinture, cinéma) et la littérature, publie son journal de travail, Main courante. Publie son « musée imaginaire » en 2004, Une maison de peinture (éditions Enigmatic).
Depuis la fin des années 1980 organise des rencontres sur des questions d’interprétation sémantiques et historiques d’images, avec des amis historiens d’art (histoire du corps médical, histoire de l’art, images animées, peinture préhistorique) à Montpellier, Toulouse, Londres, Canterbury, Belgrade, Venise, Lisbonne, etc…